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Si le bonheur (ou le malheur) se conjuguait

Être d’Éric Simardetre.jpg

Voici un recueil de nouvelles dont vous avez peut-être entendu parler ici et là sur la blogosphère québécoise. Les avis étaient d’ailleurs très positifs. C’est donc avec plaisir et enthousiasme que j’ai débuté la lecture de ce recueil de nouvelles d’un auteur que je ne connais que de nom même si je lis régulièrement ses carnets.

Le recueil comporte une quinzaine de nouvelles qui ont toutes un verbe à l’infinitif comme titre et tous ces verbes sont reliés à l’existence, à « être ». J’ai d’ailleurs trouvé que le thème était plutôt bien trouvé. Il n’est pas toujours facile de trouver un fil conducteur entre les nouvelles d’un recueil mais cette fois, ça coulait tout seul.

Par contre, j’ai été moins emballée par les nouvelles, ce qui se confirme par le fait que maintenant que le moment est venu de rédiger mon billet, j’ai oublié la grande majorité d’entre elles et que comble de malchance, je n’ai plus le recueil sous la main… Il y a bien quelques histoires que j’ai appréciées mais j’ai tout de même eu l’impression que plusieurs finissaient en queue de poisson, à moins que je n’aie pas compris où l’auteur voulait en venir ou l’émotion qu’il voulait nous transmettre. Pourtant, ce n’est pas parce que le style laisse à désirer, au contraire, la plume avait quelque chose. Mais malheureusement ce style ne m’a pas beaucoup touchée, malgré toutes les qualités de l’ouvrage.

Le recueil est maintenant parti faire un tour en Europe et je vous laisse découvrir celles qui le liront et auront envie de vous en parler.

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